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The KING ARTHUR
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17 octobre 2007

La Dépanneuse sur Bel RTL - 15.10.07 Bérénice,

La Dépanneuse sur Bel RTL - 15.10.07

5880Bérénice, Arthur et Mike.

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La Dépanneuse sur Bel RTL

5001_4Ce lundi 15 octobre 2007 de 13h10 à 16h sur Bel RTL, Mike et Bérénice recevront Arthur !

Pendant presqu'une heure, l'animateur et comédien sera sur Bel RTL pour vous rendre service... Une demande particulière ? N'hésitez pas à participer à l'émission ! Arthur, Bérénice et Mike seront cette fois à trois pour réaliser vos envies.

L'émission sera disponible sur le site de Bel RTL en podcast : Bel RTL à l'infini

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Le JDD - 31.09.07

Un con peut en cacher un autre

Par Barbara THEATE

Difficile de succéder à Thierry Lhermitte, Jacques Villeret et Claude Brasseur. C'est pourtant le défi qui attend Arthur et Dany Boon, heureux et stressés comédiens choisis par Francis Veber pour rejouer Le Diner de cons sur scène. Les deux hommes, conscients de s'attaquer à l'un des plus gros succès du théâtre et du cinéma, racontent leurs angoisses et leur enthousiasme.

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Quatorze ans après le succès du Dîner de cons sur la scène du Théâtre des Variétés et dix ans après son triomphe au cinéma (plus de 9 millions de spectateurs), Francis Veber remet le couvert.

Avec cette fois, dans le rôle de l'invité François Pignon, Dany Boon, et, dans celui de l'hôte Pierre Brochant, Arthur. Un menu apparemment alléchant, puisque 30 000 gourmets ont déjà réservé leur place à la table du Théâtre de la Porte-Saint-Martin. De quoi mettre la pression aux deux hommes, amis depuis dix-sept ans. "Nous sommes conscients de nous attaquer à une pièce mythique, presque un classique. Elle a été traduite dans 80 langues et l'acteur américain de Borat, Sacha Baron Cohen, reprendra le rôle de Jacques Villeret dans le prochain remake, explique Dany Boon. C'est comme si on remontait Le père Noël est une ordure. Dire que nous sommes angoissés est un faible mot !" Arthur confirme dans un éclat de rire. "Vous avez affaire aux deux plus grands hypocondriaques de la place de Paris! Nous somatisons tellement qu'à la veille de la couturière, nous sommes tous les deux à moitié malades." Comme une bonne partie du reste de la troupe. Laurent Gamelon, qui reprend le rôle du contrôleur fiscal Lucien Cheval tenu par Daniel Prévost à l'écran, renifle. "Ici, ce sont les gens en forme qui ne sont pas normaux." Et l'animateur des Enfants de la télé de proposer à ses partenaires de se servir dans sa loge transformée en pharmacie.

L'ambiance est détendue, mais un brin fébrile. Parce que Francis Veber, " le patron " comme l'appellent les comédiens, supervise la mise en scène. Arthur explique que le chef d'orchestre veut "que sa partition soit respectée au mot, à l'intonation et à la gestuelle près, que la musique soit harmonieuse. Avec Dany, on a des fous rires incontrôlables. Francis nous a engueulés. Il va falloir trouver une solution ou le patron va finir par nous taper!" Il n'est pas non plus aisé de succéder à Jacques Villeret, Claude Brasseur et Thierry Lhermitte.

"Comme si Molière m'avait proposé le rôle de Sganarelle"

Une comparaison inévitable, qui a poussé Dany Boon à refuser dans un premier temps le rôle de Pignon. "J'adore ce texte où on retrouve toutes les facettes de la nature humaine et j'étais très honoré que Veber pense à moi. C'est comme si Molière m'avait proposé le rôle de Sganarelle. Mais passer derrière Jacques Villeret me faisait très peur. Francis a insisté pour qu'on fasse une lecture du texte ensemble. J'en suis sorti emballé, mais pas rassuré. J'ai évité de regarder le film, afin de m'approprier le personnage. Et puis ce n'est pas si difficile de jouer un con: on est toujours celui de quelqu'un. J'ai des souvenirs douloureux où, plus jeune dans le Nord, on riait de moi."

Idem pour Arthur. "Il y a quelques années, on s'est moqué de moi lors d'un dîner parce que je ne connaissais pas un grand auteur classique." Depuis, il a engagé quelqu'un pour lui donner des cours de culture générale. Pas question d'être à nouveau le con de l'histoire. L'homme de télévision sait qu'on l'attend au tournant. "Pourquoi cela étonne-t-il tellement que je sois dans cette pièce ? Mes galons de comédien, je les ai gagnés sur scène avec mon premier one-man-show. Même si certains ont dit qu'il avait marché grâce aux fans de mes émissions télé... Maintenant que j'ai été choisi par Veber, on me regardera différemment. On comprendra que je n'étais pas mythomane quand j'affirmais être comédien."

Dany Boon intervient. "Cette aventure est un cadeau incroyable pour un débutant. Tu ne te rends pas compte, certains acteurs attendent quinze ans avant de pouvoir jouer avec Francis!" C'est d'ailleurs Dany Boon qui a proposé le nom d'Arthur au metteur en scène du Dîner de cons. "Comme avec Veber le piston ne marche pas et qu'il est très exigeant dans le choix de ses acteurs, il a demandé à Arthur de faire une lecture." Pas un excellent souvenir pour l'animateur des Enfants de la télé. "Ce n'était pas ma meilleure prestation." "Tu étais tellement angoissé que j'en avais mal au ventre pour toi", raconte son partenaire. "Francis l'a arrêté, lui a donné quelques indications, on a repris, et à la fin il était formidable!"

Tout en répétant n'avoir rien à prouver aux autres, Arthur reconnaît avoir bossé comme un titan. Il a multiplié les voyages à Los Angeles chez Veber, répété avec Dany pendant les vacances et fait appel à un coach sur les conseils du metteur en scène. "Pour la pièce, j'ai travaillé mes cordes vocales et j'ai appris à respirer par le ventre. Ma voix est beaucoup plus posée. Je suis fier de moi, mais mort de trouille." Dany Boon reconnaît que leur complicité est un plus sur scène. "Parfois, il faut du temps pour que le courant passe entre les acteurs. Entre nous, tout est spontané, cela facilite le ping-pong verbal." Arthur passe "les ballons à Zinédine Boon et Dany Chabal marque les buts du rire".


Le dîner de cons, de Francis Veber. A partir de mardi au Théâtre de la Porte-Saint-Martin, 18, bd Saint-Martin, Paris Xe. A 20 h du mardi au vendredi, à 17 h et 20 h 30 le samedi, à 15 h un dimanche sur deux. Loc: 01 42 08 00 32 et 0 892 702 803.

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Le Dîner de Cons

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Le Parisien - 02.10.07

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Alléchant, ce « Dîner de cons »

Propos recueillis par Caroline Andrieu

C'est Arthur qui régale. A partir de ce soir, à la Porte Saint-Martin, l'animateur devenu comédien invite un Pignon nommé Dany Boon pour un « Dîner de cons » à la sauce Francis Veber. Une affiche à la fois intrigante et prometteuse.

«IL EST MÉCHANT monsieur Brochant, il est mignon monsieur Pignon ! » Pour son premier rôle dans une pièce, l'animateur Arthur, 41 ans, se fera aussi grinçant que possible dès ce soir, au théâtre de la Porte Saint-Martin, dans « le Dîner de cons ». Sa victime, le « con » qu'il compte présenter à ses amis, c'est Dany Boon, même âge, son « meilleur pote » dans la vie.

Qui vous a invité à ce « Dîner » ?

Dany Boon. Francis Veber. Au départ, j'avais dit non à cause du film, que j'adore. Et puis il a insisté pour qu'on fasse une lecture, et ça s'est très bien passé. Je suis resté super-angoissé jusqu'aux répétitions, mais j'ai compris que son texte n'est pas usé.

Arthur. Quand Dany m'a dit qu'il y avait un casting pour « le Dîner de cons », j'ai demandé à y participer. Veber a répondu : « Pourquoi pas ? », et ce « pourquoi pas » a changé ma vie. Notre première rencontre a été compliquée parce que je n'ai pas été bon. J'avais trop le trac. Mais il a tout de suite noté la complicité entre Dany et moi, et ça a fait gagner du temps dans le travail.

« J'aurai cassé cette légende selon laquelle quelqu'un de la télé ne peut pas réussir sur scène »

Comment vous êtes-vous préparé ?

Arthur.
Depuis un an, je travaille ma voix avec une coach. J'ai fait des exercices de dingue, à quatre pattes, allongé... J'ai trouvé ma vraie voix, celle qui vient du ventre. Beaucoup plus grave qu'avant. Du coup, tout le monde pense que je suis enrhumé.

D.B. Tu y es arrivé, scarabée ! (A part.) Depuis qu'il a fait sa mue, il n'a plus d'acné et il s'est rasé.

Depuis quand vous connaissez-vous ?

D.B. Je faisais des apparitions dans ses premières émissions, il y a dix-sept ans. Je jouais un mec qui regardait toutes les séries médicales et qui était devenu chirurgien amateur. Tous les week-ends, il opérait sa femme. Ou alors, il faisait de l'acupuncture avec des punaises.

Arthur. J'ai une chance extraordinaire : tous les jours pendant des mois, je vais me marrer avec mon meilleur pote ! Dany me fait rire tout le temps. Cet été, en vacances, quand il nageait le papillon dans la piscine, il était ridicule.

D.B. Pas du tout. J'ai été licencié. J'ai même nagé avec Stéphan Caron (NDLR : 33 fois champion de France)... Il me mettait une demi-longueur sur 100 m.

Vous n'avez pas peur d'éclater de rire sur scène ?

Arthur. Veber dit qu'on devient bon comédien quand on arrive à ne plus être spectateur de son partenaire.

Quelle ambiance y a-t-il sur les répétitions de la pièce ?

Arthur. Je suis dans mes petits chaussons. Mais Francis Veber ne m'a jamais rappelé que je suis un débutant. Et puis quand ça ne va pas, il le dit clairement, il monte sur scène et il me montre ce qu'il attend de moi. On gagne du temps !

D.B. Moi, je fais la cuisine. Je prépare des pâtes à tout le monde dans une loge. C'est très important, les sucres lents.

Est-ce que Dany vous a poussé à monter sur scène ?

Arthur. Pendant des années, je suis allé le voir dans sa loge et je me disais que c'est pas normal d'être jaloux d'un ami. Dany et Gad (NDLR : Gad Elmaleh) m'ont poussé quand ils ont senti que j'étais prêt à y aller. Maintenant que je l'ai fait, je regrette de ne pas m'être décidé plus tôt.

Vous êtes fier de vous aujourd'hui ?

Arthur. Je n'ai peut-être pas les qualités des plus grands acteurs, mais j'en ai une : je suis un bosseur. On m'a ouvert la porte, on m'a fait confiance, jamais je ne trahirai ça. Et j'aurai au moins permis de casser cette légende selon laquelle quelqu'un de la télé ne peut pas réussir sur scène. Avant mon one-man-show, tout le monde pensait que j'allais me planter. Même à TF 1 aujourd'hui, on me regarde différemment.

Et vous, Dany Boon, vous êtes fier d'Arthur ?

D.B. Je suis fier de son amitié et de son spectacle. En deux ans, il a évolué professionnellement comme on peut le faire en cinq-six ans. Il a appris et il a pris confiance avec le public.

« Le Dîner de cons » au Théâtre de la Porte Saint-Martin, 18, boulevard Saint-Martin, Paris Xe . Du mardi au vendredi à 20 heures, le samedi à 17 heures et 20 h 30, un dimanche sur deux à 15 heures. Places : de 15 à 63 €. Tél. 01.42.08.00.32.

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